S’il y a bien un problème récurant en photo de concert il s’agit des problèmes engendrés par des éclairages aux LEDs pas très flatteurs. Mais s’il y a une chose sûre ce sont que l’argentique et le numériques ne réagissent pas du tout à ces situations.

Quel est le problème?

Avant de vous explique l’origine de ce problème laissez moi vous expliquer le rendu provoqué par celui-ci. En effet souvent sur des éclairages monochromatique bleus ou magenta aux LEDs arrive un résultat très particuliers que l’on pourrait appelé aplat dégueulasse de couleur.

 

Comment expliquer ce problème?

Concentrons nous sur un objet mathématique que l’on appelle la matrice de Bayer (voir ci-dessous). Que nous dit ce schéma? Il explique comment on peut voir de la couleur à partir de surface uniquement sensible aux intensités de lumières (noir et blanc si tu préfères). Hors te rappelles-tu les couleurs qui engendrent ce problème? Oui le bleu et le magenta. Quand une LED vibre pour émettre une lumière bleue par exemple celle-ci passe à travers le filtre bleu entièrement et se retrouve entièrement filtré par les deux autres filtres l’information reçu se retrouve dénué de nuances.

Source wikipédia

Mais est-ce different pour la pellicule?

En noir et blanc la réponse est simple vu que ces filtres n’existent pas. Par contre sur des pellicules couleurs ils existent belle et bien. Mais ici les films seront pour beaucoup dit à quatre couches (jaune, vert, bleu et magenta). Et de plus les couches ne sont pas rigoureusement les même que celles éminent par les LEDs bleues et magenta ils n’y aura pas ce problème d’aplat dégueulasse.

Source wikipédia

Conclusion

Lorsque vous voyez un contre jour aux LEDs lors d’un concert n’ayez pas peur de sortir vos pellicules noir et blanc car celle-ci gagnent la comparaison au numérique par KO. Et si le film noir et blanc était la réponse à l’utilisations massifs d’éclairage aux LEDs?